GUILLERMO MIRANDA

Ce serait amusant pour moi de photographier les nouvelles espèces que j'ai découvertes sur l'île, qu'il s'agisse de plantes ou d'animaux. Ma curiosité pour le monde m'incite à enregistrer tout ce qui m'intrigue, et je suis désireux d'en apprendre davantage à leur sujet.

Je collaborerais avec Doraemon en raison de sa capacité incroyable à invoquer toutes sortes d'accessoires, ce qui permettrait de concrétiser mes idées sans limites. Avec lui, nous pourrions nous élever dans les hauteurs, nous rétrécir ou nous agrandir, et obtenir des perspectives uniques du monde.

Pour moi, les émotions telles que la tristesse, la peur et l'anxiété, qui mettent à nu la vulnérabilité des gens, représentent l'aspect le plus difficile à capturer. Les gens se protègent souvent, ce qui rend difficile de dévoiler leurs cœurs, surtout devant un appareil photo. Alors qu'une expression joyeuse peut émerger naturellement par le biais de l'humour, susciter des émotions vulnérables nécessite de bâtir la confiance et d'encourager les sujets à s'ouvrir au photographe. En tant que personne dotée d'une grande empathie, mon espoir est d'aborder de telles situations avec une sincérité véritable, créant ainsi un environnement où les sujets se sentent suffisamment à l'aise pour partager ouvertement leurs sentiments les plus intimes.

Hong Kong serait ma destination, car elle met en valeur les conditions de vie de différents groupes à différents moments de la journée. Des vendeurs de rue animés et des employés pressés le matin, à l'afflux de touristes venant du monde entier pendant la journée, et à l'ambiance animée des étals de nourriture de rue lorsque la nuit tombe, la vitalité de la ville ne faiblit jamais. Cela ressemble à une scène dynamique où chaque individu a son moment pour briller, et le cycle de la vie se répète dans un spectacle perpétuel d'énergie et de vitalité.